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ville de vanves - Page 413

  • PROJET D’HOTEL A VANVES : TROP D’INCERTITUDES POUR LA REPUBLIQUE EN MARCHE

    Après avoir donné quelques extraits des observations des écologistes, d’associations comme le collectif du 4 septembre, et de vanvéens, il ne manquait plus que celles de la République en Marche données par Jean cyril Le Goff lors du conseil municipal de Jeudi dernier. D’ailleurs parmi les vanvéens qui se sont déplacés pour assister à ce conseil, quelques uns ont été étonnés par les propos du maire sur la majorité silencieuse qui approuve la politique menée par la muicipalité, mais qui peut aussi la désaprouver ( ?), sur ses esprits fossilisant qui s’opposent à ce projet et à la constitution d’un pole hôtelier autour  de la porte de la Plaine. Ce qui n’est pas vrai, car ils s’opposent surtout à la hauteur démesurée de cet hôtel dans ce quartier qui pourrait être très bien à rabaisser à une hauteur similaire à l’hôtel Mercure, et à la disparition d’arbres et d’espaces verts dans une ville qui en contrepartie de ses nombreuses nouvelles constructions, ne se reverdit pas, et aux problèmes de stationnement et de circulation qu’engendrait ce nouvel hôtel, avec notamment les cars de tourisme qui s’ajouteraient à ceux de l’hôtel Mercure déjà nombreux en période normale.

    Les marcheurs ont expliqué qu’ils adhéraient tout d’abord aux préconisations de la CCI des Hauts de Seine  qui suggére de «créer une zone commerciale intégrée ou non à l’espace hôtelier, avec une offre commerciale de proximité et de services ouverts sur la ville de Vanvesour répondre aux besoins de la clientèle hôtelière, des salariés et des habitants du secteur». Ensuite aux observations du Préfet des Hauts de Seine qui attirait l’attention sur « le risque que constitue l’augmentation des hauteurs de par et d’autre du boulevard périphérique en participant à la création d’un bouclier urbain plus ou continu d’immeubles d’activités et de bureaux». A ses yeux, il conviendrait que «les projets de la ville de Paris et des villes limitrophes situés en bordure du périphérique puissent davantage s’harmoniser dans un projet urbain élaboré  à une plus grande échelle »

    Ils ont expliqué, par la voix de Jean Cyril Le Goff qu’ils ne pouvaient  ignorer les nombreuses inquiétudes et remarques des riverains en citant une vanvéenne – «En relisant votre programme, je retrouve bien une mention à une modification du PLU intégrant « une dimension  écologique renforcée… ». Permettre la construction d’un hôtel de 37 M de haut en lieu et place d’une lignée d’arbres, est-ce cela qu’il fallait comprendre derrière cette définition ? Comment avoir confiance dans la parole donnée par l’équipe municipale si la première mesure consisterait à reneir complément le programme pour lequel, elle a été élue ? »  -  ou ce Président d’un conseil syndical d’une copropriété située rue du 4 septembre qui avait noté que «dans le dossier de concertation de Mai 2019, la hauteur annoncée était d’environ 31 m, et de lors de la réunion e concertation du 2 Juillet 2019, il était annoncé un immeuble de R+7 de 28 m de hauteur » ou encore ce Président du conseil syndical d’une copropriété située rue du Moulin qui fort justement relevait que «de grandes difficultés sont à craindre pour le stationnement des autocars. De même que l’hôtel Mercure, le nouvel hôtel recevra des groupes de touristes en dehors des périodes de salons (été principalement) et ceux-ci arriveront en autocars. Or, La situation devant le Mercure est souvent anarchique et dangereuse. Les emplacements de stationnement réservés étant insuffisants, des autocars stationnement en double file pendant la montée ou la descente des passagers, ce qui n’est pas sans danger pour les véhicules qui empruntent cette portion de rue en courbe, sans visibilité. La situation sera ingérable si des autocars stationnent également devant l’autre hôtel en empiétant totalement ou partiellement sur la chaussée, le trottoir étant trop étroit pour la création La desserte par autocar ne peut être assurée que depuis l’intérieur du Parc».

    Et demander au Commissaire enquêteur d’émettre les préconisations et amendements suivants :

    -Réduire le plafond de hauteur autorisé, afin d’assurer une meilleure cohérence avec les bâtiments situés sur la rive opposée de la rue du Moulin ( l’hôtel Mercure a 25m de haut, Mama Shelter et le Novotel ont 31m de haut) tout en faisant remarquer que le quartier doit d’ailleurs répondre aux exigences du périmètre des 500 mètres autour d’un bâtiment historique, le Lycée Michelet.

    -Prévoir des prescriptions pour limiter l’impact du projet sur les plantations et imposer des mesures compensatoires pour maintenir la trame verte le long de la clôture du Parc ainsi qu’une plantation d’alignement sur l’ensemble de la rue du Moulin.

    -Prévoir des prescriptions imposant la prise en compte par le projet de ses besoins de desserte (qu’il s’agisse d’un hôtel ou de toute autre construction) sans gêne supplémentaire pour la circulation et la vie locale (dépose par autocars, taxis …) ».

    Et de conclure : « Devant l’existence de plusieurs petites zones d’aléas très forts où toute construction nouvelle est interdite, nous demandons qu’une information complète paraisse dans le journal, sur le site internet de la ville et qu’une réunion publique d’information soit organisée. Les Vanvéens ont le droit de savoir s’ils sont sur ou à côté d’une de ces zones dangereuses » a déclaré Jean Cyril Le Goff (LREM), et en annonçant devant « trop d’incertitudes qui persistent dans ce dossier » l’abstention des 3 élus LREM

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    LANCEUR D’ALERTE SANCTIONNE

    Le monde vit à l’envers. Ce sont les lanceurs d’alerte qui se font sanctionnés. Vanves n’y aurait pas échappé concernant la piscine Municipale Riger Aveneau. Sa directrice aurait reçu un blâme pour avoir signalé à ses supérieurs à la mairie que deux employés de la piscine municipal auraient piqué 12 à 14 000 € dans la caisse. Pour la simple raison « qu’elle n’a pas à s’occuper de la gestion financiére surtout en période électorale ». Du coup, elle se serait mise en congé maladie depuis, et devrait être bientôt remplacé.

    DEBRE ET LA GRATUITE DES TRANSPORTS

    A la question récurrente des conseillers départementaux sur la gratuité des transports ou la priseen charge de 50% de la carte magin’R, Isabelle Debré, Vice Président du CD 92 a fait la même réponse invariable lors de la réunion du 16 Octibre dernier :  «Depuis la loi NOTRe, les départements ne dispose plus de la compétence générale. Or notre département finance à hauteur de 100 M€ les transports dont il n’est pas compétent. Et l’Etat lui demande 800 M€ pour le prolongement d’Eole à l’Ouest (en cours d’aménagement)». Or face à ses voix  qui s’élévent pour demander la gratuité des transports pour les jeunes, elle a expliqué que le contexte actuel ne s’y prête, que grâce au bon maillage des colléges, les élèves n’ont pas besoin de prendre les transports en commun – beaucoup viennent en vélo – et que l’assemblée départementale a une approche globale de son action vis-à-vis des jeunes. «De toute façon, ce n’est pas une mesure sociale, pour redonner du pouvoir d’achat aux familles, czr au bout du compte, c’est le contribuable qui paie !»  

    ATTAL ET L’ASSASSINAT DE SAMUEL PATY

    «Je suis convaincu que ceux qui ont participé à ce lynchage public de cet enseignant - il y a des vidéos qui ont été postées sur les réseaux, il y a peut-être d'autres mobilisations qu'on n'a pas vues - sont d'une certaine manière responsables de ce qui s'est passé » a estimé sur BFMTV dimanche Gabriel Atal . «Je ne suis pas la justice, je ne suis pas la police mais il faut une réponse absolument exemplaire sur ce sujet-là» a ajouté le porte parole du gouvernement en estimant que «les réseaux sociaux ont une responsabilité, car les choses ont démarré sur les réseaux sociaux et se sont terminées sur les réseaux sociaux. Donc on doit arriver à mieux les encadrer !». Y a-t-il eu des ratés de la part de l'Education nationale ? «L'enquête va permettre de voir s'il y a eu des angles morts ou pas», a-t-il indiqué, en remarquant que «la principale du collège, de l'avis de tous, a été absolument exemplaire dans son action. On en tirera des enseignements, rien ne sera mis sous le tapis !». Gabriel Attal a par ailleurs indiqué que le gouvernement travaillait avec les enseignants et leurs représentants syndicaux pour que «quelque chose de spécifique et d'historique se passe à la rentrée scolaire» après la Toussaint dans les établissements. Il a jugé «pas acceptable que des professeurs puissent s'autocensurer sur les sujets de laïcité car ils auraient peur de la réaction de leurs élèves dans les endroits les plus difficiles, ce qui risque d'être encore plus le cas» après cet assassinat, comme beaucoup d’élus francilens, notamment Valérie Pécresse, présidente de la Régon Ile de France  

     

    EXPOGRAPH VANVES : NOUVELLE VICTOIRE

    Les semaines se suivent et les attaquants d’Expograph sont toujours aussi prolifiques :Victoire 4/3 à l’extérieur sur le terrain de l’Apsap  Paris, déjà sorti de la Coupe de France par ses joueurs. «Encore beaucoup de buts, pour et contre, de beaux enchaînements de jeu, Une seconde place très solide,restons-y pour l’instant, la saison est longue. Samedi prochain, place à la Coupe de France dernier tour régional synonyme de billet pour les 32e de finale et tirage national, mais encore une fois à l’extérieur. Coup de chapeau aux joueurs de la réserve, qui malgré des défections de dernière minute se sont bien battus à 10, sans gardien, (un ou une petite gardienne de but étant annoncés à la même heure)Félicitations aux parents. .Défaite 1/3 ,série interrompue mais seconde place conservée également. La réserve recevra en Coupe de Paris en principe à 14h au stade Andre Roche» indique Jean Royer.

  • PREMIERS JOURS DE VACANCES ET DE COUVRE FEU A VANVES

    Pas de rendez-vous cette semaine à cause des vacances de la Toussaint, de la crise sanitaire et du couvrefeu qui a commencé à s’appliquer ce week-end. Sauf chez les sœurs bénédictines de Vanves qui organisent leur 2e «Dimanche écolo» le 25 Octobre de 10H30 et 17H30. Un temps de rencontre sur le théme de «mieux vivre l’écologie intégrale»

    Par contre, beaucoup de vanvéens ont eu l’impression ce week-end de revivre un peu le confinement avec l’application du couvre feu depuis samedi, qui a été respecté. Certains vanvéens ont profité de la soirée de vendredi pour se faire un resto car il n’entrait en vigueur qu’à partir de minuit. Mais certains pouvaient témoigner que déjà dans des quartiers animés de Paris, comme le quartier latin, c’était très calme. Une dernière soirée liberté endeuillée par un drame effroyable qui a soulevé le coeur de nombreux vanvéens surtout du côté des enseignants, des parents d’élèves qui ont été sensibles aux mots très juste du président Macron qui s’était rendu à Conflans Ste Honorine, après l’assassinat de cet enseignant, Samuel Paty (sur la photo).

    D’ailleurs les drapeaux était en berne samedi  dans plusieurs mairies franciliennes « en hommage à la liberté d’expression assassinée et à notre République mise en danger par l’obscurantisme » à l’initiative de l’association des maires d’Ile de France. Mais pas à Vanves à première vue. Peut être lors de la journée d’hommage nationale prévue Mercredi, après l’hommage populaire hier, auxquels ont participé des vanvéens. Beaucoup ont utilisé le hashstag «Je suis Enseignant» avec beaucoup de réactions :  « Les mots ne peuvent décrire l’effroi que nous ressentons par l’horreur et la barbarie de l’acte d’assassinat d’un enseignant qui s’st produit à Eragny…Nous ne cesserons dénoncer toute atteinte commise à l’encontre de nos concitoyens et de soutenir ceux qui en sont les victimes. Il est inadmissible que des individus, qui portent en eux la haine, associent de prés ou de loin, l’islam à leur folie meurtrière. Nous condamnons, avec la plus grand fermeté, cet acte abject . Rien, absolument rien, ne saurait justifier l’assassinat d’un homme» a réagit l’association vanvéenne «Tous Ensemble ».

    La ville a fait savoir par ses différents moyens de communications que « l’ensemble de ses services sont mobilisés pour s'adapter aux nouvelles mesures et procéder aux réorganisations de certaines activités culturelles et sportives» avec ce couvre feu entré en vigueur le soir de ce drame. Ainsi les Gymnase Magne, PMS Roche, salle omnisports piscine et l’espace pétanque sont fermés à 20h30 avec arrêt des activités à 20h, conformément aux mesures relatives au couvre-feu, exceptée pour les équipes évoluant au niveau national, le hand et le basket à Vanves qui pourront s'entraîner et jouer à huis-clos). Le service commerce en lien avec les commerçants de la ville est en train d'établir une liste des nouveaux horaires et des services de livraisons (en lien avec les bars et les restaurants vanvéens contraints de se réorganiser). Le théâtre travaille sur une nouvelle programmation des spectacles devant initialement se dérouler en soirée. L'Escal réadapte certaines de ses activités et contacte les adhérents concernés par des ateliers en soirée. De leur côté les restaurants ont avancés l’heure du dîner à 18H comme à la Table 12, l’Amandine, le Petit Vanves, l’Antre divin  etc… se mettant finalement à l’heure britannique, américaine, ou australienne où leurs habitants dinent tôt.

    Le maire de Vanves comme ses 35 collégues altoséquanais ont participé vendredi en fin d’aprés-midi à une visio-conférence avec le préfet des Hauts de Seine, où des précisions ont été apportés sur son application comme l’avait fait, la veille, Jean castex, le premier ministre. Il leur a notamment détaillé  les raisons pour lesquelles il est possible de sortir entre 21 heures et 6 heures dans les zones concernées par le couvre-feu : de santé,  professionnelles, de transport, un billet de train ou d'avion après 21 heures valant dérogation,  pour se rendre auprès d'un proche en situation de dépendance  ou pour sortir son animal de compagnie à proximité de chez soi…à la condition de remplir une attestation comme pendant le confinement. Certains établissements peuvent ouverts même pendant le couvre-feu : les établissements de santé et médico-sociaux, les structures d'accueil des plus précaires, des hôtels, des restaurants en faisant la livraison à domicile et des établissements publics qui assurent un service en soirée et la nuit».

    Comme pendant le confinement, les contrevenants s'exposent à une amende de 135 euros. Au bout de trois fois, ils s'exposeront à six mois d'emprisonnement et à 3.500 euros d'amende. 12.000 policiers et gendarmes seront chaque nuit, entre 21 h et 6 h, spécialement chargés de faire vérifier les attestations. Conscient des efforts déjà fournis par les collectivités, les acteurs économiques, sociaux et culturels et par les habitants des Hauts-de-Seine, le préfet en appelle à la responsabilité de chacun afin de limiter au maximum les rassemblements dans la sphère privée. L’application scrupuleuse des gestes barrières reste indispensable.